C’est officiel, Olivier Panis a jeté son dévolu sur le pilote Vincent Abril et sera désormais son manager pour l’accompagner dans sa carrière et mettre en exergue son potentiel. Le jeune Français originaire d’Alès et résidant à Monaco qui a fêté ses 18 ans cette année se fait de plus en remarquer par ses excellents résultats. Après deux saisons en Seat Leon Supercopa (7 podiums & 2 victoires), il s’est lancé cette saison à l’assaut du Championnat de France GT FFSA dans le cadre du GT Tour au sein du Team Speedcar au volant d’une Audi R8 LMS Ultra. A l’issu du Championnat avec 3 victoires et la 4ème place au général aux côtés de son coéquipier Dino Lunardi, Vincent Abril est devenu le plus jeune vainqueur de l’histoire en ‘GT’.
Olivier Panis : « Vincent est un jeune que je connais depuis ses débuts en kart, il a même partagé une saison avec mon fils chez Kart In Pro . Dès sa 1ère année il a prouvé qu’il est un pilote naturellement rapide. Par ailleurs, il est mentalement très bien structuré et particulièrement mature pour son âge. En remportant cette année 3 victoires en Championnat de France GT , sans compter ses nombreuses performances tout au long de la saison alors qu’il était novice dans cette catégorie, il a démontré une incroyable capacité d’adaptation ce que peu de jeunes pilotes sont capables de réaliser !
Mon objectif pour Vincent est de l’amener au niveau pro en « voitures fermées » . La Formule 1 et les courses en monoplaces ne sont pas les seules possibilités de s’exprimer en sport automobile et de grands pilotes font des carrières internationales extraordinaires dans les autres catégories. Je suis très heureux d’accompagner Vincent dans sa carrière et prends de plus en plus de plaisir à mettre mon expérience au service de la jeune génération qui nous promet de belles heures sur les pistes du monde entier ».
Vincent Abril : « Mes premiers échanges avec Olivier se sont passés lors de mes débuts en Kart lorsqu’il accompagnait son fils Aurélien sur les circuits. Pendant cette période j’ai appris à découvrir autant un Champion automobile qu’un père attentif, qui n’hésitait pas à me conseiller et nous faire partager sa passion. Au fils des années nos rapports se sont renforcés et, ma carrière progressant , il m’est apparu comme une évidence de lui confier mes intérêts. Mes résultats en GT cette année m’ont conforté dans mon envie d’évoluer dans ce type de catégories avec l’envie de devenir le fer de lance d’un grand constructeur.
Désormais, je vais pouvoir me concentrer essentiellement sur mon pilotage et bénéficier en parallèle de l’expérience d’Olivier pour négocier mes contrats futurs et gérer mon image auprès des écuries et médias. Je suis très motivé à me battre aux avant-postes en GT, DTM ou endurance et aujourd’hui je suis heureux et fier d’être représenté par Olivier Panis dont la droiture et le professionnalisme ne sont plus à démontrer ».
Site officiel Vincent Abril : www.vincentabril.com
Nous désirions une revanche sur notre première association en GT, nous l'avons eu.
Les conditions météo ne nous ont pas faciliter la tâche.
Les drapeaux rouges et la stratégie du team, ne nous ont pas permis de nous exprimer aux chronos. Course1: Après un départ très prudent et de nouveau beaucoup de mal pour chauffer les pneus, un gros crash, entrée du safety et bcp d'huile sur la piste. Pour moi, la course est finie, je n'ai qu'une idée en tête, ne pas commettre d'erreur pour que David puisse prendre le volant.
Nous perdons 10s au stand, la remontée est impossible, mais David fait des chronos exceptionnels et le 5è meilleur temps. Nous terminons P8.
Course 2: nous partons P15: David laisse passer Morgan et se retrouve bloqué derrière Groppi. Il est bcp plus vite, mais restera P15. Au changement, le team fait une erreur et nous bloque 30s de plus.
Lorsque je ressors des stands, je ne vois plus aucune voiture devant moi.
Je reconnais que ce nouvel arrêt manqué me perturbe qq tours, mais je décide de mettre à fond. Je remonte sur 4 concurrents et termine P11.
Les chronos réalisés en course par David et moi nous donnent un peu de regret. Il ne fallait pas rater les chronos et les arrêts au stand.
Bilan sportif:
Malgré une très bonne voiture, le one shot est très compliqué parce qu'iil faut tout mettre dans l'ordre.
David a pu se prouver qu'il pouvait faire jeu égal avec les meilleurs pilotes A.
Je voulais retrouver le niveau de 2011 qui m'avait permis de gagner les 2 courses sur le circuit de Lédenon avec Renaud Derlot, Pari raté, le coup de volant et l'attaque sont bien là, mais il manquait les automatismes et la connaissance de la voiture. Par exemple, les rapports ne rentrent pas lorsque l'on rentre dans l'ABS avec les pneus froids.En C1 sur l'huile due au crash, il fallait mettre le traction contrôl sur 8 et passer à fond. etc…
Pour le reste:
Nous avons passé 3 jours magnifiques avec les amis. L'ambiance dans le team est excellente, les mécanos au top et mon coéquipier a assuré grave…
Yanis le petit protégé de Julie (Fondation Julie Tonelli pour l'enfance) était ravi de monter dans la voiture avec les gros papillons roses. J'étais très heureux de constater les progrès dus à la méthode Biofeedback. C'est la chose la plus importante du week-end…..
Gérard Tonelli -Com Sofrev ASP,. Clic...
Après le GT Séries à Nogaro avec Fabien Barthez, le Blancpain Series au Castellet avec F. Barthez et M. Moullin-Traffort, j'ai la chance de pouvoir faire une troisième course dans une autre catégorie: le GT Tour sur un circuit que je connais bien et avec le maitre de ces lieux: David Zollinger.David, coach en sport automobile, notamment sur le circuit de Ledenon est l'un des meilleurs pilotes proto ( 3 victoires en 2010, 2011 et 2012 en V de V avec une Norma du team Palmyr).
Nous avions tenté une première course GT en 2008 sur une Porsche GT2 qui ne nous a pas laissé une grande satisfaction.Lorsque Jérôme Policand m'a confirmé la disponibilité d'une 3ème Ferrari pour le GT Tour de Ledenon, David m'est apparu comme une évidence, même s'il n'est pas un vrai spécialiste du GT. Le niveau du GT Tour est très élevé, nous n'avons aucune prétention sur un one shot. Nous voulons simplement se faire plaisir avec Fabien et Morgan dans le team de Jérôme Policand avec une audio de rêve.
G. Tonelli
Le Team SOFREV-ASP alignera sa troisième Ferrari 458 Italia GT3 à Lédenon pour la pénultième Etape du GT Tour. Actuellement aux commandes du championnat Pilotes avec la paire Barthez/Moullin-Traffort, l'équipe dirigée par Jérôme Policand peut aussi compter sur Jean-Luc Beaubelique et Soheil Ayari pour aller chercher la couronne finale. Dans le Gard, la troisième Ferrari sera confiée à Gérard Tonelli et David Zollinger. Si le premier est un habitué des courses GT, le second est connu pour sa pointe de vitesse en VdeV Endurance Series. Site David Zollinger:coaching driving concept.com
Fabien Barthez-Morgan Moullin-Traffort en tête du championat de France Fabien Barthez-Morgan Moullin-Traffort Avec plus de vingt-cinq voitures au départ, la sixième manche du Championnat et de la Coupe de France GT FFSA promet d’être spectaculaire sur un circuit qui ne l’est pas moins. Lédenon est en effet un tracé parmi les plus exigeants de la saison. Une piste où les pilotes peuvent pleinement s’exprimer. Deux semaines avant la grande finale, les titres peuvent être attribués. Le Gard sera-t-il le théâtre d’un couronnement ? Réponse ce week-end avec près de 30 voitures en piste !
Fabien Barthez et Morgan Moullin-Traffort, l’heure du sacre ?
Solides leaders du classement général, Fabien Barthez et Morgan Moullin-Traffort (141 pts) se sont pour l’instant refusé à parler de titre. Auteurs d’un parcours remarquable avec deux victoires et trois podiums, les deux hommes peuvent pourtant décrocher le titre de Champion de France GT dès ce rendez-vous à Lédenon. Il leur faut grappiller 14 points à leurs plus proches adversaires. En somme, si le duo du Team Sofrev-ASP remporte les deux courses, il sera sacré !
L’équipage de la Ferrari n°16 est menacé par la McLaren n°8 du Sébastien Loeb Racing pilotée par Anthony Beltoise et Laurent Pasquali (103 pts). Champion en 2011, le tandem reste sur un meeting difficile à Magny-Cours. Une chose est sure, le moindre faux pas n’est plus permis et ce d’autant plus que le team Speedcar s’est totalement relancé. A bord de leur Audi, Dino Lunardi et Vincent Abril ont signé un doublé lors de la manche précédente. Une performance inédite à ce jour. Avec une trois victoires au compteur, l’écurie de Pascal Destembert est la plus victorieuse du plateau et surfe sur une dynamique positive : à domicile, elle s’annonce donc comme redoutable ! Attention également à ART Grand Prix et ses deux McLaren MP4-12C, dont celle de Grégoire Demoustier et Ulric Amado pointe au 4e rang (95 pts).
Une multitude de prétendants…
Avec six vainqueurs différents depuis l’entame de la saison, les outsiders ne manquent pas. Parmi eux, les deux Ferrari alignée par Sport Garage, en quête d’un premier succès malgré la belle cinquième place actuelle d’Arno Santamato, associé à Eric Cayrolle. Victorieux à Spa, Philippe Giauque et Franck Perera tenteront quant à eux d’imposer à nouveau l’une des Porsche engagées par Pro GT by Almeras, un team habitué du circuit gardois. Auteur de son premier podium lors du dernier meeting, Saintéloc affiche aussi de belles ambitions avec l’Audi R8 LMS ultra de David Smet-Hallyday et Grégory Guilvert. Sans oublier la BMW Z4 du TDS Racing. Avec deux McLaren, dont une pour Olivier Panis et Eric Debard, Hexis Racing évolue sur ses terres et pourra compter sur le soutien de ses supporters. Enfin, JMB Racing est au départ avec une Nissan GT-R. Plusieurs pigistes se joindront à la fête : Chab Evolution avec une BMW Z4, mais aussi Sofrev-ASP avec une troisième Ferrari pour Gérard Tonelli et David Zollinger, ou encore une deuxième Audi aux couleurs Speed Car pour Pascal Destembert et Jimmy Antunes.
L'ancien gardien de but, champion du monde 98, s'est reconverti avec succès dans le pilotage. Le voilà leader du championnat de France GT qui fait étape tout ce week-end sur le circuit de Lédenon. A voir jusqu'à demain dimanche (de 8 h 15 à 17 h 45).
Vous voici leader du championnat de France GT. Est-ce une bonne surprise ?
C’est une excellente façon d’évoluer en confiance, en tout cas. Pour le reste, je suis d’abord animé par la passion de l’automobile, l’envie de m’y faire plaisir dans la bonne humeur. J’insiste là-dessus. Pour obtenir des résultats, cela passe par le plaisir. C’est lui qui vous incite à faire les choses sérieusement. Il en allait de même en foot
Malgré tout, avec déjà six podiums, dont deux victoires, votre bilan actuel est plutôt flatteur !
C’est le fruit d’un ensemble d’éléments positifs. J’évolue dans une bonne équipe, le team Sofrev ASP de Jérôme Policand, lequel guide mes pas en sport auto depuis le début, il y a cinq ans. J’ai une bonne auto (une Ferrari 458 Italia, NDLR), je suis aussi entouré d’un ingénieur et de mécanos compétents et j’ai, surtout, la chance de pouvoir compter sur un équipier très rapide en la personne de Morgan Moullin-Traffort. Parfois même un peu trop, quand il me colle 1,5 à 2 secondes au tour ! Plus sérieusement, c’est quelqu’un dont je suis très proche. Le circuit de Lédenon, il s’appréhende comment ?
C’est le plus technique et le plus physique de tous. On y pilote en apnée sur 90 % de son tracé.
Cet intérêt pour le sport auto, vous le cultiviez déjà durant votre carrière de footballeur ?
Oui, dans la mesure où l’automobile m’a toujours attiré, comme la plupart des mecs. Longtemps, je me suis demandé ce qui pouvait se passer derrière le volant d’une voiture de course. Cela m’intriguait. Alors, maintenant que j’ai la chance d’en piloter, j’ai pleinement conscience d’être un privilégié. Je rêve éveillé !
Un parallèle entre le foot et l’auto ?
Pour moi, c’est tout l’inverse. En foot, je gérais les choses, je faisais mon jeu. Ici, j’essaye juste de mettre en pratique les conseils que l’on me donne. Je suis nettement moins en position de gueuler ! En revanche, comme en foot, ce sont dans les arrêts de jeu que la différence s’opère...
Au volant, continuez-vous à progresser ?
C’est le but. Avec Morgan, nous partageons nos expériences. Lui est un pilote d’instinct, de grand talent. Moi, un sportif qui sait comment se préparer au plus haut niveau. On essaye de s’enrichir de nos parcours réciproques.
Vous reste-t-il un rêve à accomplir sur quatre roues ?
Oui, celui de prendre le départ des 24 Heures du Mans. Je veux le réaliser, mais dans d’excellentes conditions. Comme pour le reste, c’est Jérôme Policand qui me donnera le feu vert quand elles seront réunies. Peut-être dès 2014...
Et hors des circuits ?
À ce niveau, j’ai maintenant la grande chance de pouvoir me consacrer à mes enfants. Et, côté foot, je me suis impliqué dans la vie du club de Luzenac. Nous nous donnons quatre ans pour monter en ligue 2.
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JEV et Jules F1 Corée du sud avec le papillon de Julie
JEV
Qualifs:
JEV:
Les qualifications du Grand Prix de Corée ont une nouvelle fois été incroyablement disputées, avec des chronos proches les uns des autres. Si Jean-Eric Vergne s’avère légitimement déçu de se qualifier au 16 rang, le Français peut néanmoins se satisfaire de la progression de sa monoplace depuis le début du week-end.« Depuis hier, nous avons du mal à régler la voiture comme nous le voulons, mais grâce à un important travail de l’équipe, cet après-midi la voiture était meilleure qu’elle ne l’a jamais été jusqu’alors ce week-end. »
« Cependant, comme les autres équipes ont également progressé, l’amélioration n’a pas été suffisante pour monter dans la hiérarchie. Pour la course, nous serons en mesure de débuter chaque relais en pneus neufs et cela peut faire la différence. »
« Je suis en principe optimiste, mais je crois qu’il sera compliqué d’aller chercher des points demain. Je vais faire de mon mieux et tenter de me frayer un chemin jusqu’au top 10. » La course:Après la Corée vient le Japon… Dès la semaine prochaine le Grand Prix du Japon permettra à Jean-Eric Vergne et la Scuderia Toro Rosso d’oublier un week-end compliqué en Corée. Parti seizième, la course débutait bien pour JEV. Englué dans le trafic, le Français et son équipe adaptaient la stratégie en conséquence, mais finalement un problème mécanique venait contrarier la fin de ce Grand Prix.
« Pour l’instant, on ne sait pas encore précisément ce qu’il s’est passé à la fin » explique JEV. « J’ai senti la voiture tirer sur le côté et manifestement quelque chose ne fonctionnait plus. L’équipe m’a donc rappelé aux stands. »
« En démarrant seizième, nous savions que cela allait être une course difficile et après avoir gagné quelques places dans les premiers tours, j’ai commencé à souffrir de l’usure de mes pneumatiques, donc j’ai accepté lorsque mon équipe m’a proposé de passer d’une stratégie de deux à trois arrêts. »
« Je ne veux qu’une chose, vite être à Suzuka maintenant. Mais nous allons devoir beaucoup travailler si nous voulons retrouver le niveau de performance que nous aurions dû avoir ici. »
Jules
Grand Prix de Corée - La CourseP16 1:44.991
Jules Bianchi a terminé le Grand Prix de Corée 2013 à la 16ème position.
Dans une course où la gestion des pneus était primordiale dès le second tour de course, nous n’avons jamais vraiment pu nous battre avec les voitures devant nous. La stratégie était d’attendre que la course se mette bien en place et de profiter des événements pour consolider notre 10ème place au Championnat. Il ne reste que 5 coures et elles seront toutes difficiles au regard de la course d’aujourd’hui.
Jules Bianchi #22: “J’espérais pouvoir me battre avec les Caterham aujourd’hui même avec la pénalité de 3 place sur la grille de départ. Je suis bien parti mais nous avons rapidement dû nous concentrer sur la gestion des pneumatiques et les deux premiers relais étaient assez compliqués car je ne pouvais pas vraiment attaquer. Dans le 3ème relais, nous avions moins à perdre et nous avons donc pu être plus agressifs mais ce n’était pas suffisant pour reprendre une position. La partie ne sera pas facile dans les 5 prochaines courses et nous devons être très concentrés. Nous savons ce que nous avons à faire et tout le monde travaille dur pour cela. Je remercie l’équipe car ce n’était pas seulement compliqué dans le cockpit!”
John Booth, Team Principal: “C’était une course difficile aujourd’hui mais l’équipe a fait un travail remarquable. “Gestion” était le maître mot aujourd’hui. Nous savions qu’il serait compliqué de ne faire que deux arrêtes aux stands, mais nous avons pensé que c’était notre meilleure chance de profiter des voitures de sécurité. Nos départs étaient bons cette semaine, nous avons progressé à ce niveau. Nous avons sans cesse calculé pendant la course afin de définir le meilleur rythme à avoir pour que notre stratégie fonctionne. C’était une tâche intensive pour nos ingénieurs et nos pilotes et je suis très content du travail accompli. Notre rythme est encore un peu faible, mais nous avons tout de même pu inquiéter nos rivaux par moments aujourd’hui. Nous avons confiance dans nos petits développement qui arrivent pour les prochaines courses. Nous irons dans le bon sens pour être à la position que nous visons lors des dernières courses.”
Source: Marussia F1 Team
Marussia F1 Team confirme Jules Bianchi pour la saison 2014
L’équipe Marussia F1 Team est heureuse d’annoncer que Jules Bianchi sera l’un de ses pilotes titulaires pour la saison 2014.
Le français de 23 ans a rejoint l’équipe en février dernier, une semaine seulement avant le début du Championnat du Monde 2013, et poursuivra une saison supplémentaire avec l’équipe anglo-russe. Bien que sa préparation fût minime, Jules s’est rapidement intégré à l’équipe et à son nouvel environnement de travail et notamment sa monoplace MR02. Il a joué un rôle important dans la conquête de la dixième place au Championnat du Monde des constructeurs qu’occupe actuellement l’équipe. Le meilleur résultat de Jules jusqu’à présent est sa 13ème place acquise au Grand Prix de Malaisie.
John Booth, Team Principal
“C’est un grand plaisir d’annoncer que nous allons poursuivre notre travail avec Jules en 2014. Jules nous a rejoint dans la précipitation, à la fin des essais hivernaux, avec seulement deux jours de roulage avec nous avant le premier Grand Prix de la saison à Melbourne. Il a relevé le défi sans trembler, avec un début de saison exceptionnel. Il a clairement démontré ses capacités et son potentiel. 2014 sera le début d’une nouvelle aire pour notre sport et la continuité sera très importante et nous aidera à effectuer au mieux la transition. Nous annoncerons notre line-up complet plus tard dans la saison. D’ici là, nous devons faire tout notre possible pour conserver la 10ème place du Championnat du Monde des constructeurs. Nous sommes totalement concentrés sur cet objectif.”
Jules Bianchi #22
“Je suis très heureux de confirmer que je vais rester avec l’équipe Marussia F1 Team pour la saison 2014. Je ne pouvais pas espérer un meilleur environnement pour débuter ma carrière en Formule 1. Je me suis tout de suite senti comme à la maison. Nous avons débuté la saison de manière très positive et nous avons beaucoup appris lorsque les choses étaient plus compliquées. Cela nous rendra plus fort la saison prochaine, d’autant plus qu’il y aura beaucoup de changements. Je suis très content de faire partie de l’équipe pour entrer dans cette nouvelle phase de la Formule 1 et j’espère que nous serons récompensés par de bons résultats. Je tiens à remercier la Ferrari Driver Academy pour le soutien continu que je reçois de leur part. Pour ce qui est de la fin de la saison, nous avons beaucoup de travail à accomplir pour les six dernières courses, et nous sommes concentrés sur cette 10ème place au Championnat du Monde des Constructeur. J’espère apporter de bons résultats pour la consolider.”
Source : Marussia F1 Team
Jules
Renaud Derlot-JEV
JEV:
Après un week-end globalement décevant à Singapour, Jean-Eric Vergne se veut optimiste quant à ses chances d’obtenir un bon résultat la semaine prochaine en Corée du Sud.Le pilote français estime que le circuit de Yeongam, qui comporte plusieurs portions rapides, devrait mieux convenir à la Toro Rosso que la piste de Marina Bay, où il avait terminé à une lointaine 14ème place.
"Nous avons toujours su que Marina Bay allait être un circuit difficile pour nous, a expliqué JEV. Nous ne pensions pas qu’il conviendrait à notre voiture. Après, même si cela s’est avéré être le cas, nous avons malgré tout affiché un bon rythme au cours du week-end."
"L’équipe a fait du très bon boulot dans la mise au point de la voiture et nous disposions en réalité d’un bon niveau de performance. Nous avons juste été ralentis par des soucis techniques."
"Nous nous rendons maintenant sur des circuits qui devraient mieux convenir à notre voiture que celui de Singapour. Je suis convaincu que nous pourrons être compétitifs en Corée, un circuit que j’apprécie et qui possède des caractéristiques qui devraient jouer en notre faveur."
"J’y avais terminé huitième l’année dernière et c’est sur ce circuit que j’ai effectué mes débuts en Formule 1 en 2011, lorsque j’avais pris part à la première séance d’essais libres du vendredi matin. Je garde donc de bons souvenirs du Grand Prix de Corée. J’espère que je pourrai m’en faire quelques-uns supplémentaires la semaine prochaine."Eurosport
Jules Bianchi
Jules Bianchi #22: “Le Grand Prix de Singapore était une expérience unique notamment car il se déroulait de nuit. Pourtant cela n’a pas été un week-end facile. J’espère que la Corée correspondra mieux à notre voiture. J’ai beaucoup travaillé au simulateur et avec les ingénieurs pour preparer au mieux cette course ainsi que le Grand Prix du Japon qui suivra la semaine prochaine. Nous devons tout donner et extraire le positif de chaque situation. Nous souhaitons rallier l’arrivée avec nos deux voitures ce week-end, et pourquoi pas un peu plus.”
John Booth, Team Principal: “Nous voilà de nouveau en route, vers la Corée cette fois, pour un enchainement de deux Grand Prix. Le matériel vient directement de Singapore, l’équipe a pu, elle, rentrer en Europe pour une petite pause et pour retrouver les collègues rester à l’usine. Au risque de me répéter, l’objectif pour nous est simple : tout faire pour conserver notre position. Nous devons capitaliser sur les circuits où nous sommes plus performants. Singapore était l’un deux, et il y en aura d’autres d’ici la fin de la saison.”
Source: Marussia F1 Team
Vendredi 4 octobre 2013
Essais 1 - 03h00
Essais 2 - 07h00
Samedi 5 octobre 2013
Essais 3 - 04h00
Qualifications - 07h00
Dimanche 6 octobre 2013
Course - 08h00
Infos:photos: fan-F1, RedBulls Medias,Marussia eurosport
Kévin Estre Carrera Cup Allemande Zandvoort avec le papillon de Julie
-Qualis:Kévin P2 et P4.
Course1: course annulée
Le coéquipier de Kévin, N.Thiim réaccélère à la sortie du virage et freine pour piéger Kévin en tête du championnat.
Kévin est resté sur le bord de la piste, la course est arrêtée car la moitié du plateau est impliqué dans le caambolage. Les rails du circuits ne peuvent être réparés. La Course 1 est réportée à dimanche 9H55.
La cerise sur le gateau, Kévin ne peut pas y participer parce qu'il n'a pas rejoint le parc fermé.....
Kévin en tête du championnat. Clic...
Magnifique victoire de la Norma M20FC du trio Zollinger/Mondolot/Fargier
Kosma team manager de Palmyr: compétence, humilité et gentillesse.
David Zollinger anime les pelotons du championnat VdeV depuis bien longtemps. Vice-champion de la discipline en 2006 (Sprint 2.0 litres), le natif de Pontarlier a remporté un titre chaque année, excepté la saison dernière où il est reparti avec la place de vice-champion. On ne change pas un équipage si bien que David Zollinger fait à nouveau équipe avec Philippe Mondolot dans le baquet de la Norma M 20 FC alignée par Equipe Palmyr. Grégory Fargier fait lui aussi partie de l'aventure. Le trio s'est replacé dans la course au titre (9,5 points de retard) avec une victoire décrochée de main de maître à Motorland Aragon. Si cette année Philippe Mondolot disputait ses premières 24 Heures du Mans sans son compère David Zollinger, il n'est pas exclu de voir le tandem à l'avenir dans la Sarthe avec Equipe Palmyr de Kosma Zarazik, David ayant pris part à l'épreuve en 2010 sur une Courage du Pegasus Racing. En parallèle à sa belle carrière de pilote, David Zollinger fait du coaching de pilotes via Coaching Driving Koncept. Avec ce succès à Motorland Aragon, l'équipage de la Norma #40 peut à nouveau nourrir de grandes ambitions de titre à deux meetings de la fin de saison.
Laurent Mercier : Satisfait de ce meeting espagnol ?
David Zollinger : « Difficile de ne pas l'être. Le week-end s'est parfaitement terminé avec cette belle victoire. Avec un week-end sur deux jours, le roulage a été assez rapproché. Comme à son habitude, Philippe a parfaitement roulé tout comme Grégory qui nous avait qualifié l'auto sur la deuxième ligne. Le circuit de Motorland Aragon est vraiment sympa sur le plan du pilotage avec beaucoup de dénivelés. Les infrastructures sont elles aussi d'un haut standing. L'équipe a parfaitement géré la course de 12 heures. Depuis le début, nous avons la même philosophie du travail bien fait. Je roule avec Philippe depuis maintenant cinq ans et il n'a jamais cassé le travail. »
A quand le tandem Zollinger/Mondolot aux 24 Heures du Mans ?
« Bien entendu, nous aimerions passer à l'étape supérieure avec Philippe. Le but ultime est d'y aller avec Palmyr. Si on regarde les engagés du championnat VdeV Endurance Series, Pegasus Racing y est allé tout comme Extreme Limite. Cependant, nous avons bien conscience qu'il faut beaucoup de moyens. Palmyr s'est déjà bien diversifié et on ne veut pas aller au Mans pour ensuite mettre la clé sous la porte. Il faut bien faire attention à tout préparer minutieusement. Je pense que nous y arriverons dans les cinq à six années à venir. Il y a quelques années, nous avions failli aligner une Formula Le Mans mais les dates ne correspondaient pas avec le VdeV. »
Au fil des saisons, tu t'es forgé un beau palmarès. Surpris ?
« J'ai la chance d'être allé plus loin que ce qui pouvait être prévisible. J'ai peut-être eu plus de passion que d'autres. Je ne peux pas me plaindre car je gagne ma vie avec le sport auto. Pour venir sur les meetings, je conduis le camion et je dors à l'intérieur au sein du paddock. Je vis avec les mécaniciens, ce qui donne une vraie complicité dans l'équipe. L'équipe travaille d'arrache pied pour nous donner une auto parfaite et c'est un juste retour des choses. J'ai eu la chance dans ma carrière de rouler dans beaucoup d'autos différentes mais mon objectif est de monter sur le podium aux 24 Heures du Mans. »
Tu vas aussi bientôt rouler en GT...« Je vais prendre part à la manche du Championnat de France GT de Lédenon sur une Ferrari 458 Italia GT3 du Team SOFREV-ASP en compagnie de Gérard Tonelli. Ce sera vraiment la première fois que je vais rouler dans une GT même si j'ai déjà connu une expérience ou deux, dont une avec Gérard. L'idée est de passer un bon moment avec lui mais aussi de faire du bon travail. »
Déjà des projets pour 2014 ?« Rempiler en VdeV Endurance Series. Pour le reste, il faudra voir selon les différentes opportunités qui se présenteront. Le coaching me prend beaucoup de temps tout au long de l'année. » Propos recueillis par Laurent Mercier
infos/photos:Endurance infos
Nous avions tenté une première course GT en 2008 sur une Porsche GT2 qui ne nous a pas laissé une grande satisfaction. Lorsque Jérôme Policand m'a confirmé la disponibilité d'une 3ème Ferrari pour le GT Tour de Ledenon, j'ai proposé à Renaud Derlot de me rejoindre( nous avons également un goût d'inachevé qu'il faudra comblé un jour), mais son Job avec JEV ne lui permettait pas de s'engager. David m'est apparu comme une évidence, même s'il n'est pas un vrai spécialiste du GT.
Le niveau du GT Tour est très élevé, nous n'avons aucune prétention sur un one shot. Nous voulons simplement se faire plaisir avec Fabien et Morgan dans le team de Jérôme Policand avec une audio de rêve.
G. Tonelli
Le Team SOFREV-ASP alignera sa troisième Ferrari 458 Italia GT3 à Lédenon pour la pénultième Etape du GT Tour. Actuellement aux commandes du championnat Pilotes avec la paire Barthez/Moullin-Traffort, l'équipe dirigée par Jérôme Policand peut aussi compter sur Jean-Luc Beaubelique et Soheil Ayari pour aller chercher la couronne finale. Dans le Gard, la troisième Ferrari sera confiée à Gérard Tonelli et David Zollinger. Si le premier est un habitué des courses GT, le second est connu pour sa pointe de vitesse en VdeV Endurance Series. Site David Zollinger:coaching driving concept.com