Les sports mécaniques
Du minikart à la F1, le papillon rose de Julie est porté par des milliers de pilotes sur tous les circuits du monde.Lorsque je suis sur un karting ou dans une auto de course, c'est avec Julie et pour Julie.
C'est elle qui devait être à ma place, elle aurait fait beaucoup mieux bien sur!
Comme tous les parents des pilotes de kart, j'ai toujours vécu la course à travers Julie.
Je dois ma résurrection aux pilotes, commissaires, parents de pilotes et tous les passionnés de sports mécaniques qui portent un petit papillon rose chaque week-end sur les circuits. C'est la meilleure façon de faire vivre Julie.
Nul ne peut s'imaginer l'importance que ça représente pour nous.
Merci à tous :)
Le papa de Julie

-Diaporama Julie karting. Clic...


Jules Bianchi vainqueur au Castellet avec le papillon de Julie.
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30-09-12
Bianchi gagne au Paul Ricard et prend la tête du Championnat
La quête de titre de Jules Bianchi a eu un « coup de boost » aujourd’hui quand il a passé la ligne d’arrivée en vainqueur de la seconde course des World Series 3.5 au Paul Ricard. Ce très bon résultat, additionné à la quatrième place de la course 1, permet au français de passer en tête du Championnat avec 5 points d’avance sur le second, Robin Frijns (Fortec Motorsports).
La victoire de Bianchi est le fruit d’une stratégie parfaite qui l’a vu faire son arrêt obligatoire au bon moment pour prendre la tête de la course devant le portugais Antonio Felix Da Costa qui s’est arrêté 4 tours plus tard que le jeune français.
Bianchi part maintenant pour le Japon et la Corée pour les Grands Prix F1, avant la dernière course des World Series dans 3 semaines à Barcelone.
Source : Ferrari
pôle et victoire pour Eric Debard et Olivier Panis
Olivier Panis (Ferrari 458, Team Sofrev-ASP n°10), 1er : « Eric a fait un très bon relais et je devais ensuite trouver l’ouverture sur Laurent (Cazenave). Je dois dire qu’il a été vraiment fair-play. Je savais que je devais le doubler rapidement pour ne pas être sous la pression d’Anthony Beltoise. Ensuite, j’ai pu maintenir l’écart jusqu’au bout. C’est une belle victoire et c’est vraiment sympa de monter à nouveau sur la plus haute marche du podium. Nous avions décroché de nombreux podiums mais il nous manquait ce succès. Avec Eric, nous reprenons quelques points au championnat. La deuxième course ce dimanche sera très importante et nous espérons bien être en position de jouer le titre à la finale. »
Eric Debard (Ferrari 458, Team Sofrev-ASP n°10), 1er : « Au premier tour, les deux Porsche ont été pressantes et je ne voulais surtout pas m’accrocher. J’étais dans un bon rythme et j’ai mis la pression mais je ne trouvais pas l’ouverture. Je savais que la n°2 avait 5 secondes de handicaps-temps et qu’Olivier pourrait attaquer la n°3. Cette victoire fait du bien. Nous étions passés si souvent près de la première position, notamment à Magny-Cours. Nous n’allons rien lâcher au championnat ! »
Fabien Barthez, Morgan Moullin-Traffort, Olivier Panis, Eric Debard aux couleurs de Julie
Renaud Derlot, Jacques Laffite sur la SLS aux couleurs de Julie
Renaud Derlot revient au GT tour pour la deuxième fois de la saison.Il est associé à Jacques Laffite.
Pour ce meeting du Mans, deux pilotes de F1, Olivier Panis(158 GP de F1) et Jacques Laffite (176 GP de F1) porteront le petit papillon rose de Julie.
Fabien Bartgez et Morgan Moullin-Traffort victorieux à Navara et 3ème au championnat
Au Mans, pour la sixième manche du Championnat de France GT FFSA, ce sont deux Mercedes SLS qui seront en piste. Celle du Sébastien Loeb Racing sera accompagnée d’une jumelle alignée par le Graff Racing. Au volant, un équipage inédit composé de Jacques Laffite et Renaud Derlot. Le pilote francilien, plusieurs fois victorieux avec une Mercedes SLS l’an dernier, s’apprête à retrouver son ancienne monture.
Bien occupé par son rôle de conseiller auprès de Jean-Eric Vergne en F1, Renaud Derlot sera présent pour la deuxième fois de la saison sur le Championnat de France GT FFSA. Après Magny-Cours et l’Audi R8 LMS ultra, c’est donc la Mercedes SLS du Graff Racing qu’il pilotera. Une voiture qu’il connaît bien puisqu’il avait disputé l’intégralité de l’édition 2011 à son volant. Cette fois, il la partagera avec Jacques Laffite. « A l’origine, l’idée m’a été suggérée par un ami » raconte Renaud Derlot. « Cet ami est présent sur quelques grand prix et il me voyait souvent avec Jacques. Il m’a demandé pourquoi nous ne roulions pas ensemble, si c’était faisable… Ensuite, il a fallu trouver une auto, mais ce n’était pas le plus compliqué : je savais que cette Mercedes était disponible et qui était capable de la faire rouler. »
L’histoire a fait son chemin et voilà donc Renaud Derlot et Jacques Laffite prêts à prendre la piste, pour l’un des rares week-ends où les deux hommes ne sont pas sur un circuit F1. Pour Renaud, l’objectif ne fait pas de doute. « Se faire plaisir, tout simplement » précise-t-il. « Nous venons pour nous amuser, mais nous sommes préparés correctement avec deux séances d’essais. L’une déjà effectuée, au Val de Vienne, l’autre à venir. Arriver comme cela pour un one-shot n’est pas chose facile, d’autant que le niveau du championnat est très relevé. »
Fin connaisseur de la Mercedes SLS, Renaud Derlot devrait tout de même avoir une belle carte à jouer associé à Jacques Laffite. Il poursuit : « Je pense que le circuit du Mans peut nous convenir. Nous allons tout faire pour pointer aux avant-postes, avec la Mercedes du Sébastien Loeb Racing qui sera notre valeur étalon, tout en sachant qu’ils ont l’avantage de rouler depuis le début de la saison et de bénéficier des dernières évos. Je reste convaincu qu’il y a un bon coup à jouer sur un tel tracé. Mais je n’oublie pas que notre souhait est vraiment de se faire plaisir. »
Avec la pointe de vitesse de Renaud Derlot, Champion d’Europe de F3 2002 et vainqueur de la Porsche Carrera Cup 2009, et l’expérience de Jacques Laffite, 180 grand prix et six victoires en F1, la Mercedes SLS du Graff Racing sera sans doute un outsider à ne pas sous-estimer.
Renaud Derlot-Jacques Laffite avec le papillon de Julie
Jacquot fait l'idiot ;) mais reste appliqué pour se préparer au GT Tour de ce week end... – (Margot Laffite)
Morgan Moullin-Traffort
Infos Photos:GT tour/Patrick Hacq /ffsa.org
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Pôle et victoire de Jules Bianchi FR 3.5 Tech1 Racing avec le papillon de Julie
Jules Bianchi et Sam Bird vont cependant tout faire pour empêcher Robin Frijns de rentrer dans l’histoire des World Series by Renault, car l’un comme l’autre ont besoin de ce titre. À domicile, Jules Bianchi doit frapper un grand coup. Originaire de Nice, le troisième pilote Sahara Force India, membre de la Ferrari Driver Academy, pourra compter sur tout le soutien de ses proches, mais aussi sur celui du public attendu en masse sur le plateau du Castellet. Vainqueur au Nürburgring puis à Silverstone, un succès à domicile ferait le plus grand bien au Français qui accuse 24 points de retard sur Robin Frijns.
Jules Bianchi s’impose à domicile et passe en tête
Jules Bianchi : « Je n’étais pas assez rapide en début de course. J’ai haussé le rythme, mais c’est grâce aux stands que j’ai gagné la course. C’est plus agréable d’arriver à Barcelone en tête. Nous savons que Robin Frijns est fiable, il sera coriace pour la finale. Il ne faudra vraiment pas se laisser déstabiliser par l’enjeu. »
Matt Vaxivière FR 2.0 Tech1 Racing avec le papillon de Julie
Aurélien Panis FR 2.0
Kévin Estre Carrera Cup allemande Oschersleben avec le papilllon de Julie
-Qualifs.Kévin P3.Clic...
-Course1; Kévin P4. Clic...
-Course2: Kévin out. Clic...
1. Training Freitag |
14.09.2012 |
11:20 - 11:50 Uhr |
2. Training Freitag |
14.09.2012 |
16:00 - 16:30 Uhr |
Qualifying Samstag |
15.09.2012 |
11:15 - 11:45 Uhr |
Rennen 1 Samstag |
15.09.2012 |
15:25 Uhr |
Rennen 2 Sonntag |
16.09.2012 |
11:20 Uhr |
Infos : http://www.racecam.de / Future Racing
Matt Vaxivière (Tech1 Racing) coaché par Renaud Derlot
Jules Bianchi FR 3.5 (Tech1 Racing)
RESULTATS.FR.3.5CLIC....
RESULTATS FR 2.0.CLIC...
Course 1 Jules P3 et P2 au championnat
Jules Bianchi : « Le championnat reste ouvert, mais Robin Frijns a encore fait du super boulot aujourd’hui. Cela ne va pas être facile s’il continue sur ce rythme. Pour ma part, nous étions dans le rythme en qualifications mais pas en course. J’ai fait quelques erreurs, car je n’arrivais pas à suivre le rythme, nous devons donc travailler pour nous refaire demain.
Aurélien Panis FR 2.0
Site Jules Bianchi. Clic...
Kévin Estre Porsche Super Monza avec le papillon de Julie
Kévin P2 aux chronos et en course. Il est est vice champion Porsche supercup 2012. Superbe saison de Kévin :)
-Essais libres.Clic...
-Essais qualifs . Kévin P2.Clic...
-Course. Kévin P2 et vice champion. Clic....
Supercup, super final… et super vice-champion !
Kévin Estre est devenu vice-champion de la Porsche Mobil 1 Supercup à Monza au terme d’un final de tous les dangers, de toutes les audaces, riche en suspense et fort en émotion. Dans le temple de la vitesse, le Français aurait pu gagner, mais aussi tout perdre. Il a en tout cas tout donné pour terminer 2ème de la course et dauphin de René Rast, qui obtient sa troisième couronne consécutive dans la série mono marque la plus rapide du monde !
La lutte pour le titre concernait cinq postulants, c’est dire l’intensité de cette saison qui restera à coup sûr dans les annales d’une discipline qui fêtait sa 20ème édition en 2012. Le pilote icsport management Kévin Estre, vainqueur à Monza en 2011, s’est présenté au départ avec un seul petit point de retard sur l’Allemand René Rast… qui s’était lui-même imposé en 2009 et 2010 sur le célèbre autodrome milanais !
La séance de qualification revêtait une importance particulière dans ce contexte, en vertu des deux points qui récompensent la pole position. Les cinq prétendants ont répondu présent en prenant les cinq premières places ! 2ème, Kévin pouvait à la fois se satisfaire d’avoir devancé René Rast, 4ème, mais aussi regretter d’être passé à seulement 12 millièmes de seconde de la pole. « Les essais libres nous ont rassuré sur notre potentiel, encore fallait-il tout mettre dans l’ordre en qualification. Sur mon deuxième train de pneus, j’ai tout donné dans l’unique tour sans drapeau jaune ni trafic dont j’ai pu bénéficier. J’aurais pu gagner un dixième et demi si je n’avais pas été gêné par un pilote qui a refusé de me laisser passer avant la Parabolique et qui est parti en tête à queue juste devant moi. »
On imagine aisément la tension extrême qui règne au moment du départ. Tout se passe pourtant sans anicroche à la première chicane. « Je suis un peu mieux parti que le poleman Norbert Siedler mais pas suffisamment pour prendre l’avantage. A la fin du premier tour, Sean Edwards m’a pris la 2ème place à la Parabolique. Je me suis alors retrouvé pendant trois tours sous la pression de René Rast. » A ce stade, Kévin est en position de remporter le championnat, mais il reste dix tours et on est loin d’avoir fini de retenir son souffle…
« Au quatrième tour, j’ai défendu l’intérieur à l’entrée de la Parabolique et la voiture s’est légèrement mise à l’équerre. Je n’ai pu éviter une incursion dans l’herbe et dans le bac à 200 km/h. J’ai réussi à éviter le tête à queue, mais Rast est passé et au bout de la ligne droite, j’étais à une centaine de mètres derrière, en 4ème position. Mes pneus étaient sales et mon coéquipier Nicki Thiim est revenu. Je ne l’ai pas bloqué pour ne pas perdre encore plus de temps et tenter de revenir ensemble sur Rast. Je faisais des calculs et je me suis rendu compte que je risquais de finir 3ème au championnat car derrière, Kuba Giermaziak revenait. Il fallait réagir ! Nicki a fait une petite erreur, je l’ai attaqué, il m’a écarté de la trajectoire mais j’ai pu le doubler et reprendre la 4ème place. »
Kévin réduit légèrement l’écart qui le sépare de René Rast tandis que celui-ci profite de la bataille entre Norbert Siedler et Sean Edwards pour se rapprocher des deux leaders. Nos cinq candidats au titre occupent toujours le Top 5 à deux tours de la fin, quand l’ultime coup de théâtre se produit. « Edwards a heurté Siedler à la deuxième chicane. Rast les a débordés juste avant qu’ils ne s’accrochent de nouveau à Lesmo. Ça aurait pu mal se terminer pour moi car je suis parti en travers sur le liquide de refroidissement d’Edwards, alors que Siedler tournoyait devant ma voiture. Pendant une fraction de seconde, j’ai bien crû que j’allais le percuter… » Mais Kévin trouve un trou de souris pour éviter l’Autrichien. « J’ai perdu un peu de temps dans cette manœuvre, puis en doublant Edwards dont le radiateur continuait à perdre son liquide. J’ai passé la ligne à seulement 2 secondes et demi de Rast… »
Kévin n’a pas à rougir de sa prestation italienne, ni de son rang final au terme de ce qui n’était que sa deuxième saison en Supercup. « J’étais un peu plus vite que René Rast ici, mais pour tenir ce rythme, il fallait que j’attaque comme un fou. Il mérite son titre car il a été plus rapide sur l’ensemble de la saison. Je pense aussi que je mérite ma 2ème place et je suis heureux que mon équipe Hermes Attempto Racing ait remporté le championnat Teams. » La saison est loin d’être terminée avec encore deux meetings de la Porsche Carrera Cup Allemagne au programme. A Oschersleben, les 15 et 16 septembre, on retrouvera les cinq mêmes « super-porschistes » en lutte pour une autre couronne !
Classement de la Porsche Mobil 1 Supercup après 10 courses sur 10* : 1. René Rast 142pts, 2. Kévin Estre 139pts, 3. Nicki Thiim 123pts, 4. Norbert Siedler 120pts, 5. Sean Edwards 107pts etc…
(* : la question de la conformité de la voiture de Giermaziak à Silverstone sera jugée le 18 septembre).
Infos/Photos: racecam.de -Future racing / © Photo Julie Tonelli- Race Gmbh
Depuis plusieurs semaines, Tim était pressenti pour faire équipe avec Fabien Barthez. C’est une coïncidence qui n’en est pas une pour moi. En effet, je connais très bien Tim, formé par David Zollinger de Driving Koncept. C’est un pur produit de la famille Palmyr de Kozma à Lédenon..D’autre part, Fabien Barthez, Olivier Panis et Renaud Derlot sont mes amis. Je les côtoie depuis des années et je sais quel type pilote peut s’intégrer dans cette nouvelle aventure Panis Barthez. Les commentaires qui suivent ne m’étonnent pas du tout, c’est ce que j’attendais en ce qui concerne Tim.
Bravo David, très bon job avec Tim, je n’ai jamais douté de la réussite de l’école Driving Koncept.
Gérard Tonelli
Tim Buret et David Zollinger
Olivier Panis et Renaud Derlot ont recruté Timothé Buret qui roulera avec Fabien Barthez en European Le Mans Series et aux 24 heures du Mans en catégorie LM P2 au volant de la Ligier JS P2 # 23. Les deux pilotes et l’équipe de Panis-Barthez Compétition se prépare à aborder la saison qui démarrera sur le Circuit du Castellet lors des test officiels les 22 et 23 mars prochain. Un troisième pilote viendra compléter cet équipage et sera annoncé prochainement.
Olivier Panis – Team-Principal : ” L’arrivée de Timothé Buret au sein de l’équipe est une vraie satisfaction pour nous tous. Son parcours traduit à la fois sa volonté, sa persévérance et sa capacité à réussir dans des disciplines variées et il correspond parfaitement à l’ADN de notre team. Il nous a convaincu de son envie de performer en endurance et nous souhaitons, tout au long de la saison, l’armer du mieux possible pour évoluer à nos côtés dans ce nouveau challenge ” .
Renaud Derlot – Directeur Sportif : ” Le recrutement de Timothé au sein de Panis-Barthez Compétition s’est avéré rapidement être une évidence pour l’ensemble de l’équipe. J’ai pu déceler, au delà de son gros potentiel en piste, qu’il avait un bon esprit d’équipe. Les impressions de Fabien Barthez à son sujet, m’ont conforté dans cette prise de décision. Le courant est très vite passé entre eux lors des essais et de notre stage sportif. La cohésion entre pilotes est un facteur déterminant pour augmenter les chances de succès de l’équipe. “Tim” a un profil attachant et il est doté d’une grande détermination, qualité que j’affectionne particulièrement.
Fabien Barthez – Pilote sur la Ligier JS P2 : ” C’est une grande satisfaction d’avoir Timothé avec nous. Nous avons décelé tout de suite qu’il a une bonne éducation et beaucoup de valeurs. C’est un jeune très attachant. Concernant la partie purement sportive, j’accorde toute ma confiance à Olivier Panis, Renaud Derlot et Simon Abadie.”
Timothé Buret est né le 31 mai 1995 à Montpellier. Depuis tout jeune, passionné de sports mécaniques, “Tim” passe ses moments de loisirs en motocross et en quad. A partir de 2010, il s’attaque aux courses de karting et se fait rapidement remarquer. En 2013, il accumule de l’expérience en sprint et en endurance avec plus de 50 départs en Endurance Series, Challenge monoplace VdeV et Caterham R300. Il se concentre l’année suivante à rouler en prototype CN 2.0 litres et décroche le titre de Vice-Champion d’Europe. En 2015, c’est du côté des Etats-Unis, et conseillé par David Zollinger, qu’il est allé par la suite montrer son savoir-faire avec de belles performances à la clé, en rejoignant le Team Juncos Racing en Pro-Mazda, s’inscrivant ainsi dans le programme vers l’IndyCar Series. Pour sa 1ère année, le Rookie a prouvé qu’il était en mesure de gagner le championnat jusqu’à la dernière course. Il finit brillamment à la 5ème place en inscrivant à son palmarès 8 podiums et une victoire sur le circuit mythique d’Indianapolis.
Timothé Buret – Pilote sur la Ligier JS P2: “L’endurance m’a toujours attiré et aujourd’hui c’est pour moi une évidence que de “switcher” dans cette catégorie après mes acquis en sprint. J’ai déjà connu l’expérience du partage d’un baquet avec le VdeV et j’ai vraiment apprécié ce mode de fonctionnement. Me retrouver aux côtés de Fabien Barthez est une magnifique opportunité de combiner nos compétences respectives. J’ai hâte de porter les couleurs de Panis-Barthez Compétition et de vivre cette saison avec en point de mire les 24 heures du Mans. “
Endurance infos


Training Freitag |
31.08.2012 |
17:00 - 17:45 hrs |
Qualifying Samstag |
01.09.2012 |
12:25 - 12:55 hrs |
Rennen Sonntag |
02.09.2012 |
11:45 - 12:20 hrs |
Victoire de Jules Bianchi en Course 1 et podium C2. Clic...
Qualif 2 Jules P1
25-08-12
Bianchi domine sous le déluge de Silverstone
Deuxième victoire de la saison pour Jules Bianchi, qui est à Silverstone pour les World Series 3.5. La course s’est déroulée dans des conditions météo très délicates et il était impossible d’en prédire l’issue. Seuls 10 pilotes sur 26 ont vu le drapeau à damiers. Bianchi a mieux géré les conditions que tous les autres pilotes et cette victoire le relance parfaitement dans la course au titre. Avec 110 points, il passe à la seconde place du championnat et revient sur les talons de Robin Frijns, deuxième aujourd’hui, qui n’a plus que 19 points d’avance.
Dimanche, le pilote de la Ferrari Driver Academy, tentera de réduire encore un peu plus l’écart de points lors de la seconde course du week-end. Le français s’élancera pour cela de la pôle position qu’il a signé dans la foulée de sa victoire, en 1 :48.638.
26-08-12
Bianchi sur le podium de la course 2
Jules Bianchi a aujourd’hui visité la 3ème marche du podium et a ainsi glané de précieux points pour le championnat. Le pilote français qui roule pour Tech 1 Racing est revenu à 6 points du leader du championnat, Robin Frijns (Fortec Motorsports) qui, malgré une timide 9ème place lors de la course 2, reste en tête avec 131 points. Jules est revenu à seulement 1 point du deuxième, Sam Bird (ISR) qui a gagné aujourd’hui.
Suite à son excellente performance de samedi, le pilote de la Ferrari Driver Academy a perdu quelques positions au départ. Il a cependant contre-attaqué par la suite pour accrocher ce nouveau podium en dépassant Frijns d’abord, puis en profitant de l’abandon de Marco Sorensen (Lotus) qui a souffert d’une crevaison. La prochaine course se déroulera à Budapest les 15 et 16 Septembre.
A Silverstone, la pluie est venue perturber la première course de Formula Renault 3.5 Series. Jules Bianchi (Tech 1 Racing) passait à travers toutes les embuches pour aller remporter son deuxième succès de la saison, devant Robin Frijns (Fortec Motorsports) et Nigel Melker (Lotus), nouveau venu dans la discipline. Si Robin Frijns conservait les commandes du championnat à l’issue de cette course mouvementée, Jules Bianchi réalisait une bonne opération en s’emparant de la deuxième place du classement général.
Les qualifications se déroulaient sur une piste humide. Si Jules Bianchi menait la majeure partie de la séance, Kevin Magnussen (Carlin) tirait son épingle du jeu et signait sa troisième pole position de la saison devant Robin Frijns et Alexander Rossi (Arden Caterham). Jules Bianchi se qualifiait finalement au 4e rang.
Le ciel était menaçant au moment du départ. Kevin Magnussen prenait le meilleur envol et virait en tête devant Jules Bianchi, très bien parti, Alexander Rossi et Robin Frijns. Une averse s’invitait aux débats et les leaders découvraient une piste partiellement humide, notamment entre les anciens et les nouveaux stands.
Premier à arriver sur les pièges, Kevin Magnussen sortait de la piste et abandonnait. Il était imité quelques secondes plus tard par Alexander Rossi, Sam Bird (ISR), Nico Müller (International Draco Racing), Marco Sorensen (Lotus), Nicolay Martsenko (BVM Target), Yann Cunha (Pons Racing), Anton Nebylitskiy (Team RFR), et Kevin Korjus (Tech 1 Racing… La voiture de sécurité entrait en pite et les pilotes en profitaient pour changer de type de gommes. La direction de course présentait finalement le drapeau rouge, tandis que Will Stevens (Carlin) pointait en tête devant Jules Bianchi, Robin Frijns, Daniil Move (P1 Motorsport) et Nigel Melker.
Au restart, Will Stevens conservait les commandes de la course, mais Jules Bianchi se montrait immédiatement pressant, tandis que Robin Frijns pointait troisième devant Nigel Melker suite à la sorte de Daniil Move. Le classement évoluait au tour suivant, lorsque Will Stevens perdait le contrôle de sa monture et abandonnait à son tour. Jules Bianchi s’emparait donc de la première position devant Robin Frijns, Nigel Melker, Nick Yelloly (Comtec Racing) et Lucas Foresti (Dams).
Tandis que de nombreux pilotes effectuaient des excursions hors-piste sur cette piste totalement imbibée d’eau, Jules Bianchi creusait irrémédiablement l’écart sur Robin Frijns et Nigel Melker. Les trois hommes restaient dans cet ordre jusqu’à l’arrivée, tandis que Nick Yelloly et Antonio Felix da Costa (Arden Caterham) complétaient le top 5. Cette deuxième victoire de la saison permettait à Jules Bianchi de revenir à 19 points de Robin Frijns au classement général.
Jules Bianchi : « J’ai pris un très bon départ, en passant de quatrième à deuxième. Ensuite cela a été compliqué. Kevin était le premier à arriver sur les difficultés. Lorsqu’il est sorti de la piste, j’ai immédiatement demandé à mon équipe de rentrer chausser les pluies, c’était la bonne décision. La suite de la course était toute aussi difficile et la visibilité terrible. C’est une victoire importante pour le Championnat. »
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