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Julie chérie, 20 ans et pas un seul jour sans toi. On t’aime toujours plus que tout.


Après toutes ces années, on peut dire que nous avons franchi les étapes du deuil. 

Le choc et la sidération, la fuite et la recherche, la déstructuration et la restructuration.

Dans le processus de deuil, je conteste le mot perte. On ne peut  pas accepter de perdre notre enfant que l’on aime plus que tout.

Au fil du temps on reprends ses esprits, on analyse tous les points de vue, on étudie tout les vécus de parents orphelins, et 20 ans après on adhère à cette pensée d’Antonin Serillanges:


Par la mort, la famille ne se détruit pas, elle se transforme, une part d’elle va dans l’invisible. On croit que la mort est une absence, quand elle est une présence discrète. On croit qu’elle crée une infinie distance, alors qu’elle supprime toute distance, en ramenant à l’esprit ce qui se localisait dans la chair. Que de liens, elle renoue, que de barrières elle brise, que de murs elle fait crouler, que de brouillard elle dissipe, si nous le voulons bien. Vivre, c’est souvent se quitter ; Mourir, c’est se rejoindre. Ce n’est pas un paradoxe de l’affirmer. Pour ceux qui sont allés au fond de l’amour : la mort est une consécration non un châtiment.... 


Il faut beaucoup de travail, de volonté, d’amour et de temps pour en arriver là, mais Julie a toujours été en nous pour nous guider et nous aimer. 



Michèle et H.Gérard Tonelli

 

jm-julie_salon.jpeg Jean-Michel mon ami, mon frère a rejoint Julie cette 20 ème année. Il est également chaque jour avec moi. Il a vécu à mes côtés toutes les étapes pour retrouver Julie qu’il aimait profondément. 

 

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